Ce soir...

Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku
il y a 4 ans

Une histoire érotique de soumis attaché par sa Maîtresse

Ce soir, il est prévu que nous passions la soirée ensemble. Je suis allé à ton appartement, un grand studio dont tu m’as donné une clé. J’y suis depuis 19 h, après avoir fini ma journée au bureau. Tu n’étais pas là quand je suis rentré, sans doute retardée à l’IA. Mais j’espère secrètement que tu es en retard parce que tu m’as préparé une surprise … Mon imagination me fait croire qu’il s’agit de quelque chose de croustillant, pour assaisonner un jeu que nous allons jouer toi et moi tout à l’heure … En attendant, je m’allonge sur ton lit et allume le poste de télé tout en parcourant la presse du jour. Le temps et les minutes s’écoulent … Toujours pas de Sandrine … 19 h 30 … 20 h …. Rien … ! Pas d’appel sur mon portable …. Petit à petit, je sens l’agacement me monter à la tête, car je n’ai aucune patience lorsqu’il s’agit de mon plaisir. Je commence à ronchonner après toi, t’accusant précisément de me négliger ce soir, alors qu’il était prévu que nous passions du temps ensemble …

Le bruit de la clé tournant dans la serrure me surprend au beau milieu de mes pensées courroucées. Il est 20 h 30 lorsque tu franchis le seuil de la porte de ton appartement. Tes hauts talons claquent sur le sol tandis que tu poses tes clés et la sacoche de ton ordinateur sur un petit meuble de l’entrée, avant de faire glisser ton long manteau de tes épaules. A la façon sèche que tu as de poser tes affaires et à ton air pincé, je me doute que ta journée ne s’est pas passée comme tu le voulais.

  • « Pardon mon chéri d’être en retard mais mon chef m’a jouée un vilain tour ce soir. Il a complètement chamboulé l’organisation de ma réunion de demain et je me retrouve obligée de revoir ma présentation. Et bien sûr, il avait déjà transmis à Nancy l’ordre du jour pour qu’elle l’expédie aux participants, comme cela je n’ai même pas pu le faire changer d’avis …

Mon chéri, j’ai peur que notre soirée en tête à tête soit compromise, j’en ai pour un moment à reprendre mon document et à le mettre en phase avec l’ordre du jour. Je ne sais même pas si j’ai tout ce qu’il faut pour reprendre mon power point comme il faut. Mon chef m’énerve … il ne s’est intéressé à rien depuis le début, à propos de cette formation et c’est maintenant qu’il met son grain de sel … »

  • « Ooohhh non … ! pas ce soir … !»

  • « Ca ne m’enchante pas plus que ça … mais il va falloir que tu l’acceptes, d’ailleurs je m’y met tout de suite. Tu n’as qu’à lire en attendant que j’ai fini et on mangera après. D’ac ? »

  • « Mais … j’ai envie de toi, maintenant. Cela fait déjà 2 h que je t’attends, alors je suis bien chaud …

  • « Ooooohhh … ! Ca va bien maintenant ! ! ! T’as qu’à penser à autre chose. »

  • « C’est de ta faute aussi … c’est toi qui me met dans cet état ! ! ! »

  • « Ah non ! ! ! Pas de ça avec moi … Je suis totalement innocente et je n’ai rien fait pour te mettre sens dessus dessous, surtout ce soir. Alors tu te débrouilles comme tu veux, mais tu t’occupes tout seul ou tu lis, mais ne comptes pas sur moi pour m’occuper de toi. Laisses moi travailler maintenant … »

Avant de t’installer sur le lit, tu retires ta veste de tailleur et l’accroches sur un cintre dans le placard. Puis tu te déchausses de tes escarpins et dégrafes ta jupe, avant de la retirer et de la déposer sur le dossier d’une chaise près du lit. Alors seulement, tu t’installes en tailleur, seulement vêtue de ton chemisier ivoire, de ton collant noir –évidemment … - et de tes dessous noirs également. Tu cales ton portable sur tes genoux et commence à retravailler ton power point, sans plus t’occuper de mon existence …

Je suis contrarié. Au lieu de jeux érotiques avec toi, me voilà contraint de lire … mon esprit, bien échauffé s’évade et je ne suis pas concentré sur ma lecture. Je t’observe du coin de l’œil et te déshabille du regard. Sous ton chemisier très près du corps, j’imagine ta poitrine se pressant contre la fine dentelle de ton soutien gorge pigeonnant. Je distingue presque l’auréole plus sombre de tes mamelons et leur goût me revient à la bouche. La sensation de ce petit bout de chair en érection également … Je me met à bander, irrésistiblement à la pensée de tes seins et de la façon dont j’aime m’en occuper… Presque sans m’en rendre compte ma main s’est posée sur ta cuisse gainée d’un collant Well et mes doigts en caresse doucement la texture, de plus en plus fermement. La paume de ma main se glisse à l’intérieur de tes cuisses et remonte la jambe, glissant jusqu’à ton sexe, jusqu’à le toucher à travers le nylon du collant et le lycra de ta petite culotte.

  • « Arrêtes ! ! ! »

Le ton claque, sans réplique, sec comme un coup de fusil. Tu as tourné vivement la tête vers moi et je te sens très agacée par le fait que je te trouble alors que tu tiens à finir rapidement ta corvée.

  • « Je te signale que plus tu me fais perdre du temps, plus tard je serai disponible pour toi … si je le suis ! Alors à ta place, je resterai tranquille. »

  • « Met toi à ma place justement … j’ai très envie de toi et tu es installée, à côté de moi, en petite tenue, tellement désirable que mon sexe ne reste pas indifférent. Regarde … »

Je redresse mon buste pour te montrer ma queue, de dimension appréciable, qui forme une bosse sous mon pantalon…

Tu t’esclaffes.

  • « N’essaie pas de m’attendrir de façon aussi grossière… Et puis je te connais. Quand tu me regardes comme cela, je sais que tu ne vas pas rester sage, alors je te préviens, si tu ne te tiens pas tranquille, tu vas en subir les conséquences …»

  • « C’est dur … »

  • « Oui, je sais. C’est même inutile de me le montrer d’ailleurs. Je n’ai pas le temps et tu me fait perdre mon temps justement. Viens ici, je vais m’occuper de toi. Ou plutôt, tu vas t’en occuper et t’exciter tout seul. »

Un regard diabolique flotte sur ton visage.

  • « Qu’est ce que tu vas faire … ? » Je suis à la fois intéressé et inquiet, ce qui t’amuse beaucoup.

  • « Ce que je fais avec toi dans ces cas là. Tu as envie de sexe ? Et bien contentes toi du tien. Je vais t’attacher des pieds à la tête et tu vas attendre que j’ai fini … et peut être … peut être … que je consentirai à m’occuper de toi. Cela dépendra de ta sagesse… »

Je trouve l’idée également excitante. Je te demande juste d’enfiler un de tes collants pour m’aider à me maintenir le sexe en érection, car une fois les mains attachées dans le dos, je ne pourrai plus le solliciter, le titiller et faire qu’il soit au meilleur de sa forme ! Or, j’ai l’intention de te faire saliver. Bien entendu, ce n’est pas quelque chose que je t’avoue et je m’amuse déjà à l’idée de retourner le supplice à mon avantage…

Je retire mes vêtements, ne gardant en tout et pour tout qu’un collant beige que j’ajuste à ma taille. Je m’installe sur le lit, croise mes poignets dans le dos et attend. Quelques secondes à peine, et je sens ta main placer les miennes, paume contre paume, et une corde s’enrouler autour d’elles puis se resserrer d’un coup sec. Une autre corde est glissée autour de mes coudes, pour les rapprocher l’un de l’autre, faisant ressortir mon torse. Ah … ! Je n’avais pas pensé à ça et c’est légèrement inconfortable. Tant pis, je bande de plus belle et c’est le principal. Sous le double contact des cordes et du nylon mon pénis s’est allongé, a augmenté de diamètre et tend vers l’avant le fin tissu du collant.

  • « Ca va … ? Pas trop serré mon chéri … ? » me demandes tu d’un air moqueur, tout en tirant d’un coup sec sur les cordes qui m’emprisonnent davantage.

  • « Mmm ….fff ! Non … ! ça va … » répond je malgré l’inconfort grandissant dans lequel me plonge ce ligotage, plutôt étroit.

  • « Mmm … d’après ce que je vois, je ne sais même pas si tu vas avoir besoin de moi ce soir … Un collant et quelques cordes vont suffire à ton affaire, on dirait … »

  • « Ah non … ! »

En position assise, mes mains tombent sur la naissance de mes fesses et j’ai très peu de liberté de mouvement. Tu fais le tour du lit et te rassois en face de moi.

  • « Tu veux continuer … ? »

  • « Oui, continue s’il te plait … »

  • « Bon, comme tu me le demandes gentiment … De toute façon, c’est la seule façon de t’obliger à rester sage, n’est ce pas … ? »

  • « Oui. Tu es trop irrésistible, j’ai envie de me jeter sur toi en réalité. »

  • « Je vais m’arranger pour calmer tout cela. »

Tu rassembles mes jambes devant moi, et passes une corde au dessus de mes genoux avant de les entourer de trois ou quatre tours, de faufiler la corde entre eux de façon à bien bloquer le lien. Pas trop serré mais efficace. Je ne peux plus bouger le haut des jambes, d’autant que tu renforces le bondage en pratiquant de même avec une seconde corde, sous les genoux cette fois. Mes jambes sont maintenant soudées l’une à l’autre. Il te reste à parachever ton oeuvre en attachant mes chevilles d’une troisième corde, ce qui est chose faite en quelques secondes. Je me rappelle d’un seul coup une série de photos de bondage de toi prises dans un hôtel du Massif Central … Je me retrouve à ta place…

  • « Voilà mon Pad’ … te voilà bien saucissonné, comme tu l’aimes, n’est ce pas … ? Qu’est ce qu’on dit à sa choutte … ? »

  • « Rien … pourquoi … ? »

  • « Je voulais te laisser une dernière occasion de parler, parce que naturellement, je vais devoir te bâillonner. Je n’ai pas envie de subir tes jérémiades, que tu vas pousser d’ici une demi heure … Tu sais, j’en ai encore facilement pour une heure de travail… Il va falloir être patient… Oh … ! Je ne te l’avais pas dit … ? Excuses moi mon chou, j’ai oublié … mais c’est trop tard maintenant … Ouvre grand la bouche s’il te plait …»

  • « Hein … ! ! ! C’est long une heure attaché, je n’ai pas envie de rester auss…. Mmmmmpppfff …. Mmmmppppf ff f .. Ggrggr m..mmm .. ffff ! ! ! ! »

Trop tard … et inutile mouvement de révolte… Tu m’as pris le menton d’une main et fourré un collant dans la bouche de l’autre. Tu le fais pénétrer lentement, savourant ma soumission silencieuse … Je sens l’arôme de ton sexe qui imbibe ton collant, sur mon palais …

  • « Ne le recrache pas, je prends un foulard »

  • « Mmmm … ppppfff …Ggrgrrmm …mmmffff ! ! ! »

  • « je ne comprend rien de ce que tu dis, mais c’est sûrement un remerciement, n’est ce pas … ? »

Je secoue vigoureusement la tête.

  • « Mmmffff ….fffnn…ffnnnon … ! »

Tu ris …

Je sens le foulard se glisser entre mes lèvres. Ton regard exprime la satisfaction et l’excitation de m’avoir une fois encore réduit à l’impuissance et avoir fait de moi ton esclave sexuel… Pour mon plaisir et le tien … Je me sens à tes ordres et pendu à tes désirs, et cette sensation provoque une érection encore plus monumentale à laquelle tu ne peux pas résister. Tu glisses ta main sur mon sexe tendu sous le collant et le masse en gémissant de plaisir. De mon côté, je ne peux retenir un râle de désir sous ta caresse…

  • « mmmm ….mmmmmmmmm… » Ma tête roule d’un bord à l’autre, je crois que je vais jouir tout de suite, tellement la sensation est énorme. Mais tu t’arrêtes avant l’explosion.

  • « Mon chéri, je te laisse à tes petites affaires et à tes plaisirs solitaires… Amuse toi bien et reste sage … »

D’une bourrade, tu me couches sur le lit, à tes côtés. Puis tu te réinstalles devant ton portable et reprend ton travail, tandis que doucement je me tortille dans mes cordes, m’amusant à frotter mes cuisses l’une contre l’autre, profitant du fait de porter ce collant pour me maintenir en forme. Il va falloir, car le temps va être long à attendre que tu sois disponible. Et je ne veux pas te décevoir …

Je commence par essayer de me détacher les poignets, en les tordant dans tous les sens. J’ai lu quelque part qu’en contractant les muscles quand on les attache, une fois décontractés on peut relacher la tension des liens. Evidemment cela ne marche pas, tu as trop bien fait ton travail. Du côté des jambes, même constat. A part maintenir mon excitation en frottant mes cuisses contre la couette, je n’arrive pas à donner du jeu aux cordes qui m’enserrent. De dépit, je mords dans mon doux bâillon tout en bramant de désespoir et de frustration.

  • « Mmm….mmpppffff … Ggrrr …mmmfff … ! ! ! »

  • « Chuuuut mon chéri … Tu vois bien que je travaille et que j’ai besoin de concentration. Sois sage et amuses toi en silence. »

  • « GGGGGgrrrrmmmmfffff … ! ! ! »

  • « Prends patience. Sinon je vais être obligée de mettre dans le placard, là où je ne t’entendrai plus. »

Comme je préfère rester à côté de toi, ta menace du placard me fait taire instantanément. Je me cale confortablement sur le dos, jambes tendues, décidé à prendre patience. Je te regarde … tes yeux, toujours aussi envoûtants. Ta chute de rein, cambrée comme je l’aime … Tes longues jambes qui m’appellent … Je résiste et petit à petit, l’excitation tombe, laissant la place à l’inconfort du bondage. Les yeux au plafond, j’attends… Brusquement, je sens ta main se refermer sur ma bite et la masturber vigoureusement … Je tourne la tête vers toi, plein d’espoir …

  • « J’ai oublié de te dire une clause du contrat. Tu as l’obligation de te maintenir … en forme ! Faute de quoi, je crois que j’aurais beaucoup mieux à faire tout à l’heure que de perdre mon temps avec un amant qui ne me donne pas envie de lui ..." »

  • « Mmmmm ….pppppffff … ? ? ? »

  • « Là je t’aide, mais cela ne se reproduira pas. Fais ce qu’il faut pour continuer à bander pour moi … mais sagement … ne m’empêche pas de travailler ! »

Chameau ! ! ! Comment faire pour rester excité tout en ne bougeant quasiment pas… ? Je ferme les yeux et me concentre sur mes liens qui me retiennent prisonnier. La pression qu’ils exercent autour de mon corps est comme si tes bras me serraient fort… J’imagine que nous sommes enlacés et que tu t’occupes de moi. Je me frotte les fesses contre la couette en pensant que ce sont tes attouchements. Je plonge mon visage dans l’oreiller comme si ta bouche était collée à la mienne … Et je continue à bander … et à obéir à tes caprices …

J’ouvre les yeux … tu me regardes me frotter contre le lit et je lis dans ton attitude et ta bouche, mi close, que cela t’excites prodigieusement. Ta position a légèrement changé. Ton bassin est plus en avant, faisant cambrer davantage ta croupe et ta main droite s’est glissée entre tes cuisses … j’imagine ce qu’elle fait à ta chatte et mon érection redouble …

Soudain, tu te rends compte que je te regarde. Tu reprends ton air hautain et sévère, me retourne sur le côté et me flanque une bonne claque sur les fesses…

  • « je t’avais dit de rester sage … c’est comme cela, pour toi, rester sage … ? »

  • « mmm …ppppfff f…. fffff…. » dis je de façon pitoyable

  • « Ne dis rien, ne fais plus rien, ne bouges plus d’un cil … »

Vaincu, je reste immobile, attendant mon sort avec crainte. Une heure s’est écoulée depuis que je suis ligoté … Je trouve maintenant le temps long. En plus je dois maintenir mon pénis en érection et cela devient un supplice terrible …

Le claquement du portable qu’on referme, me ramène à la réalité …

  • « J’ai fini. Ouuaahhh …. Enfin … ! ! ! Je vais pouvoir prendre ma douche … ! »

  • « mmm …ggggrr rmmmm …fffff ! ! ! ! » Je proteste et te demande dans mon bâillon de me détacher avant.

  • « Allons mon chéri, je vois que tu tiens la forme. C’est bien. Mais il faut continuer tes efforts, c’est pour ton bien … et le mien … Je vais peut être voir ce que je peux faire … après ! »

Je me secoue dans mes liens, tape des pieds, me tortille dans tous les sens … ce qui t’amuse beaucoup pendant que tu te déshabilles … !

  • « Mon pauvre chéri …. Si tu te voyais …. Tu es tout mignon, tendu dans ton collant, bondé comme tu es… A la limite du ridicule mais je crois que cela n’est pas pour te déplaire… Bon, je te dis à tout de suite mon chéri … Sois sage … »

  • « Mmmmm…ggrrr..mmmfff … ggrrr .. mmmpfffffffffffff…. ! ! ! ! »

Tu parles ! ! ! Je me suis agité pour la forme car je sais que je ne me détacherai pas, les nœuds sont trop solides. Tu as raison, je vis cette situation humiliante comme un délice sexuel. Mais j’aimerai que nos corps s’enlacent … Encore une fois, il me faut attendre …

Un bon quart d’heure plus tard, tu émerges de la salle de bain, en nuisette de satin rouge, celle qui te découvre quasi intégralement les jambes et dévoile à travers la dentelle ajourée ta jolie poitrine … Re érection de ma part … Tant mieux, cela va te stimuler, que je pense.

Tu t’assois sur le lit, un large sourire aux oreilles.

  • « Alors mon chéri … ? Ca va … ? Tu aurais mieux fait d’être sage, tu ne crois pas … ? je ne sais pas pour toi, mais moi ce scénario me plait beaucoup … j’aime t’avoir à ma disposition comme ça. Montres moi si tu as toujours envie de moi ? »

Je me mets sur le dos et te montre mon engin engoncé dans son collant et de taille respectable.

  • « Ca va … pas trop mal, même si tu pourrais mieux faire, je pense … Je crois que je vais attendre encore un peu, le temps de m’occuper de mes jambes. »

Et le supplice reprend. Tu t’installes sur le lit et commences à enduire tes jambes de crème, l’une après l’autre, en la faisant bien pénétrer. Ce spectacle me fascine, je le trouve très érotique bien que tu ne me touches pas … Tes gestes sensuels me chavirent, j’aimerai que tu t’occupes de mes jambes comme cela. Mon impatience grandit aussi et je commence à trépigner sur le lit. Mais tu me dédaignes … ostensiblement ! ! !

Je te pousse et te bouscule de la tête … en grommelant dans mon bâillon.

  • « Arrêtes tout de suite … !»

Je continue, naturellement …

  • « Bien … Tu n’es qu’un sale gosse … Et tu sais ce que les maîtresses font aux sales gosses … ? … Elles leur donnent une fessée ! ! ! »

  • « Mmmfff … ? ! ? ! »

Tu m’empoignes par les aisselles et me place en travers de tes cuisses. D’une main tu relèves mes poignets, de l’autre tu m’administres une vigoureuse claque sur le derrière, seulement protégé par le collant.

  • « Clac ! … Clac ! » Suivis d’une douce caresse sur les fesses …

Puis tu recommences : deux claques et la caresse.

  • « Tu aimes cela … n’est ce pas … ? Tu aimes bien que je te punisse quand tu n’es pas sage … Et tu es incorrigible … c’est plus fort que toi, il faut que tu désobéisses … Alors tu mérites ta punition … oui ? »

  • « Mmmm …ppppfffff….nnnooonn ! »

  • « Comment … ? j’ai cru comprendre … ‘non’ ? … Clac ! … Clac … !» Ta main s’insinue entre mes fesses, se glissent sous elles, attrapent mon pénis … me massent …

  • « Mmmm …ppppfffff….noui ! »

  • « Oooohhh … ! Je ne comprends rien de ce que tu me dis. Attends, je te démusèles… »

Tu dégages le foulard et retires le collant bien trempé de salive qui m’empêchait de parler. Je fais jouer mes mâchoires endolories.

  • « Je t’écoutes … »

  • « …Oui, ma maîtresse … j’aime quand tu me punis … »

  • « Et quand je te bonde … ? »

  • « Oui … aussi … »

  • « Et quand je fais de toi mon jouet … ? »

  • « Oui … oui … »

  • « Et que je te torture … me moque de toi … et te frustre … ? »

  • « mmmm … oui … j’adore tout cela … c’est très excitant comme tu peux le voir … »

Je te regarde te caresser la chatte pendant que tu me poses tes questions. Le ton de ta voix est celle d’une femme en chaleur …

  • « Alors, c’est bien. C’est tout ce que je voulais entendre… Maintenant, silence ! »

Malgré mes protestations indignées, tu me fourres sévèrement de nouveau ton collant dans la bouche, réajuste le foulard entre mes lèvres en resserrant bien le nœud sur la nuque.

  • « On reprend … ? … Clac … ! Clac … ! » une caresse, puis une autre …. de plus en plus ciblée …

Je tourne la tête en arrière … je vois que tu as fait glisser une bretelle de ta nuisette et attrapé entre tes doigts le tétons de ton sein droit … tu le fais rouler entre ton pouce et l’index et le fait grossir …

Coincé contre ta cuisse, mon sexe se contracte à son tour, se durcit encore et je le frotte contre ta peau, faisant monter mon plaisir et le tien … Mes fesses sont en feu mais tu calmes la douleur en passant inlassablement ta main dessus, de ma chute de rein au niveau de la ceinture du collant, jusqu’en bas des cuisses … mon corps frissonne et s’électrise … Je gémis de plaisir dans mon bâillon dans lequel je mords pleines dents.

Et soudain, me prenant par surprise, une claque peut être un peu plus forte que les autres me fait jouir à grands jets dans le collant, contre ton entrejambe. Mon corps est traversé de soubresauts que je ne contrôle pas…

Tu dégages le bâillon de ma bouche … M’aides à m’agenouiller entre tes cuisses …

  • « Mon amour, à ton tour maintenant … fais moi jouir mon chéri … »

Tu me regardes, je lis un désir monstrueux et impérieux dans ton regard flamboyant …

Tes cuisses s’écartent, dévoilant ta chatte trempée d’excitation par ce que tu viens de me faire subir. Ses lèvres sont largement ouvertes … avides de ma bouche …

J’approche ma bouche et la pose contre tes petites lèvres, te donnant un baiser très appuyé … que je prolonge quelques secondes… avant de me retirer et de souffler doucement un air froid dessus … pour l’apaiser et te redonner envie … ma langue s’occupe de ta chatte, la caressant, la léchant, la pénétrant … Je m’arrête et je souffle de nouveau … ton sexe frémis sous la brise … Ma bouche se referme pour pincer tes lèvres tandis que ma langue s’acharne sur ton clitoris en érection, de plus en plus vigoureusement … tourne autour, le presse … je te suce et te dévore le sexe. Attaché des pieds à la tête, je suis complètement à ta botte, soumis à tes caprices, suspendu à tes lèvres … J’aime et toi aussi cette situation de maîtresse te comble … tu as tout pouvoir sur moi et sur mon corps et tu le sais … tu le vois … et cela te procure de délicieuses sensations en bas du ventre …

  • « Continues mon chéri … oui … c’est bon … oui, à cet endroit … appuies plus fort … tournes maintenant ta langue … manges moi la chatte … vas y … encore plus fort … ! j’aime quand tu me lisses la chatte comme cela … mmmmm …. C’est bon …. Met la langue encore …»

Ta main vient se plaquer sur ma nuque et me tire vers ton sexe qui me remplit la bouche, et tu te masturbes contre mon visage ….

  • « mmmmm ….mmmmmm…. ! ! ! »

Le bâillon de chair brûlant palpite sous mes lèvres... Le contact de tes poils me râpe les joues, ton arôme chaud m’emplit les narines …

Mon pénis s’est de nouveau redressé, fou d’excitation … Tu as glissé l’un de pieds contre lui pour me permettre de me masturber pendant que je m’occupe de ta chatte … Ta respiration s’accélère, tes gémissements deviennent des plaintes … mes lèvres sont collées à ton sexe et le pressent de plus en plus fort, tournent à l’intérieur, massent ton bas ventre … les plaintes se muent en cris … Jusqu’à ce que tu atteignes la jouissance, en cambrant tes reins et en râlant de plaisir … ! ! !

Epuisé, saoulé de plaisir, je m’adosse au lit. Nous échangeons un long baiser d’amoureux … Tu te lèves, un air de contentement éclaire ta figure. Tu vas jusqu’à la salle de bain, prend une éponge et reviens t’accroupir près de moi. Lentement, parce que les nœuds sont bien serrés, tu me libères des cordes qui ligotent mes jambes. Tu fais glisser mon collant sur mes cuisses et le retire doucement. Et tu entreprends de me nettoyer le bas ventre et le sexe de la semence que j’y ai laissé tout à l’heure. J’ai l’impression d’être un nouveau né entre les mains de sa mère … C’est très sensuel, on se regarde plein d’amour dans les yeux … Je suis encore ton prisonnier pendant quelques minutes ...

Paddy

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